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Comme Nico a mentionné voir la petite vidéo

Dossier Norbourg
Autre victoire pour l'AMF
Mise à jour : 24/07/2008 13h01
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Écoutez les précisions d'Alain Laforest.
Le dossier de Vincent Lacroix revenait en Cour, jeudi matin, et l'Autorité des marchés financiers a enregistré une autre victoire.

L'organisme pourra intenter une poursuite civile contre l'ex-PDG de Norbourg et 13 représentants.

Le début des procédures a été fixé au 19 août prochain.

L'AMF veut récupérer les 31 millions de dollars provenant du fonds d'indemnisation des représentants qu'elle a versé à près de 900 investisseurs floués dans le scandale Norbourg.

L'Autorité estime que les représentants poursuivis ont reçu des sommes supplémentaires pour vendre des fonds Norbourg.

Ils ont ainsi favorisé leur intérêt personnel plutôt que celui de leurs clients.

L'AMF craignait que la faillite de Vincent Lacroix ne retarde indûment les procédures.

Si l'Autorité réussit à récupérer les 31 millions, ils serviront à renflouer le fonds d'indemnisation et non à indemniser les victimes.

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N'Oubliez pas le sondage....

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Revirement dans le scandale Norbourg
Vincent Lacroix reconnaîtrait sa culpabilité
Mise à jour : 01/07/2008 08h38
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Réjean Léveillé et Chantal Leblond s'entretiennent avec un investisseur floué.
Il pourrait y avoir un revirement dans le scandale Norbourg. Selon ce que rapporte Le Journal de Montréal, Vincent Lacroix accepterait de reconnaître sa culpabilité aux accusations criminelles déposées contre lui en échange d'une sentence négociée.

D'après des informations recueillies par le quotidien montréalais, l'avocat de Lacroix et les représentants de la poursuite ont des discussions en ce sens depuis son inculpation, le 18 juin dernier. Cinq ex-employés de Norbourg avaient aussi été arrêtés cette journée-là.

Une entente permettrait notamment au ministère public d'alléger la preuve au procès qu'il souhaite commun pour les six accusés. Elle pourrait peut-être même paver la voie à des plaidoyers de culpabilité d'un ou plusieurs autres accusés.

Vincent Lacroix fait face à 200 chefs d'accusation. Les accusations vont de fraude à blanchiment d'argent, en passant par fabrication de faux documents et complot.

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Écoutez les explications de Robert Plouffe.
La chef du Parti québécois met finalement sa menace à exécution.

Pauline Marois a déposé une poursuite de près d'un million de dollars contre le député adéquiste Gilles Taillon pour ses propos controversés dans le dossier du scandale financier Norbourg.

La semaine dernière, M. Taillon a déclaré qu'en 2001, Mme Marois ou un membre de son cabinet avait fait pression pour que Vincent Lacroix obtienne un crédit d'impot d'un million de dollars.

TVA a mis la main sur la poursuite déposée par Pauline Marois.

Elle demande 700 000 dollars pour dommages moraux, et 200 000 dollars pour dommages exemplaires.

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Pauline Marois

Je partage intégralement les propos de Jocelyne Cazin concernant ce
cher Monsieur Michel Nadeau......l'AMF sort grandi du procès de VL.
Il faut peut-ëtre se rappeler le rôle ou la finalité de cette institution soit
la PROTECTION des investisseurs. En quoi le procès de VL a assuré cette
finalité?L'AMF a engagé divers intervenants extérieurs à son organisme
de protection tels Mme Gyslaine Leclerc,l'experte juriscomptable qui a
tout simplement déclaré que le scandale Norbourg était en fait du
blanchiment d'argent,Me Eric Downs un des meilleurs avocats, et j'en
passe etc...,pour intervenir dans le procès de VL.
L'AMF a obtenu ce qu'elle voulait mais les investisseurs que veulent-ils
eux monsieur Saint_Gelais,vous qui avez déclaré à un journalisme de
Finance et Investissement que le BLANCHIMENT D'ARGENT n'était
aucunement une préoccupation pour vous ou votre organisme!!!!!!!!!!!!!
sage

SUPER BON,¸

http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=20080129-093533&alt=2

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/11/20071114-153340.html

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Déjà sur Canal Argent....

Mise à jour: 05/09/2007 10:04
De nombreux témoins sont attendus
Le procès de Vincent Lacroix reprend aujourd'hui
LCN



LCN
À Montréal, le procès de Vincent Lacroix, l'ex-P.D.G. de Norbourg, reprend aujourd’hui. La deuxième partie du procès devrait permettre l'entrée en scène de nombreux témoins.
Vincent Lacroix, qui se défend seul, veut faire entendre d'anciens collaborateurs comme Érik Asselin, son ancien bras droit, mais aussi, son dénonciateur. C'est lui, l'ex-vice-président finance chez Nordbourg, qui a tout révélé à la GRC.

Lacroix veut aussi appeler à la barre Michel Fragasso, un autre de ses ex-collègues.

L'ex-président de Norbourg fait face à 51 chefs d'accusation d'avoir tripoté la valeur des parts des fonds communs Norbourg et d'avoir transmis de fausses informations à l'Autorité des marchés financiers.







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Mise à jour: 31/08/2007 06:41
NORBOURG - FRAUDE
Les contradictions de Vincent Lacroix



Vincent Lacroix chantant d'autres chansons
«Le contrat de 22,5 M$ n’était que d’autre maquillage»
Alain Bisson

Le Journal de Montréal

Les quelque 1 000 pages de l’interrogatoire de M. Lacroix, mené sur 7 jours, d’octobre à décembre 2006, sont publiques depuis février dernier et disponibles sur le site Internet du syndic RSM Richter.

M. Lacroix y révèle, entre autres, comment il a utilisé, à compter de février 2000, les premiers gros montants confiés à Norbourg - 20 M$ au total d’Opvest, une filiale de Desjardins - pour financer la croissance de sa jeune société.

Cet argent lui a notamment permis de créer les Fonds Norbourg en 2001 et d’acheter les Fonds Évolution en 2003.

Dans son interrogatoire, M. Lacroix avoue aussi avoir commencé à puiser dans les fonds des investisseurs à l’automne 2002 lorsqu’il est venu à bout de l’argent d’Opvest !

Et il ajoute avoir remboursé à même l’argent des épargnants les 20 M$ de la filiale de Desjardins, plus un rendement de 2,3 M$, quand Opvest a décidé de retirer ses billes, en juin 2004, au moment où ça commençait à sentir le roussi chez Norbourg.

La protection de la loi Cependant, M. Lacroix a demandé et obtenu la protection de l’article 5 de la Loi sur la preuve après avoir été contraint de témoigner devant RSM Richter.

Et il bénéficie, comme tous les citoyens, des dispositions des chartes des droits empêchant l’auto-incrimination avec de l’information obtenue de lui devant une autre instance (le syndic, dans ce cas-ci), explique Me Pierre Robert, professeur de droit criminel au département de sciences juridiques de l’UQAM.

De sorte que ce que M. Lacroix a raconté au moment des interrogatoires réalisés lors de la faillite des sociétés de Norbourg ne peut être utilisé contre lui dans la preuve présentée devant le juge Claude Leblond, ajoute l’enseignant.

L’avocat de la poursuite, Éric Downs, doit donc faire fi des aveux de M. Lacroix et tenter de prouver sa culpabilité avec une preuve indépendante.

Éventuellement, la poursuite pourrait recourir aux propos antérieurs de M. Lacroix, si ce dernier témoigne devant le juge Leblond et qu’il avance des choses différentes de ce qu’il a déballé au syndic.

Mais l’exercice ne pourrait que servir à mettre M. Lacroix en contradiction et à miner la crédibilité de son témoignage devant la Cour du Québec. Jamais la déposition de M. Lacroix devant le syndic ne pourra être considérée comme des aveux par le juge Leblond.

abisson@journalmtl.com

http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/08/20070830-201225.html

Avec les deux petites caméras.....

http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/06/20070605-210744.html

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Mise à jour: 04/06/2007 22h28




LCN


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http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/06/20070604-222810.html


Affaire Norbourg

Un autre recours collectif contre l'AMF

Scandale Norbourg: 140 investisseurs passent à l'offensive et intentent un nouveau recours contre l'Autorité des marchés financiers (AMF).
Dans une requête déposée lundi en fin d'après-midi, dont TVA a obtenu copie, les investisseurs veulent forcer l'Autorité des marchés financiers à les indemniser.

Puisque leur gestionnaire de fonds était Vincent Lacroix, l'AMF refuse donc de leur verser un dédommagement pouvant aller jusqu'à 200 000 dollars.

Les investisseurs accusent maintenant l'AMF d'avoir commis un abus de pouvoir flagrant en refusant de les indemniser.

Ils soutiennent aussi que, lorsque Vincent Lacroix a acheté le fonds en 2004, il avait déjà une idée derrière la tête.


En vidéo, regardez le reportage d'Alain Laforest.

LCN


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Nouvelle vidéo





Affaire Norbourg

Vincent Lacroix ébranle l'expert de l'AMF

Au 15e jour du procès de Vincent Lacroix a peut-être réussi à ébranler la preuve de l'Autorité des marchés financiers.
L'expert juricomptable François Fillion a été réprimandé par le juge Claude Leblond alors que l'ex-PDG de Norbourg le contre-interrogeait.

L'ex-pdg de Norbourg, qui se défend seul, tente de faire confirmer les arguments qu'il présente en défense.

Vincent Lacroix soutient avoir été lui-même floué de 20 millions de dollars lorsqu'il a acheté les fonds Évolution de la Caisse de dépôt et de placement du Québec.

À ce sujet, les avocats de l'AMF ont demandé à l'accusé de prouver que les documents présentés proviennent bel et bien de la Caisse de dépôt.

La parole de Vincent Lacroix est mise en doute puisqu'il est aussi accusé d'avoir fabriqué de faux documents dans cette affaire.

Mise à jour: 30/05/2007 06:46
Procès Norbourg
Lacroix a fourni 700 fausses transactions à l'AMF



Alain Bisson
Le Journal de Montréal Pressé de justifier sa fortune et ses prétendues mises de capital dans le Groupe Norbourg, Vincent Lacroix s’est inventé trois comptes de courtage et a enseveli l’Autorité des marchés financiers (AMF) sous 700 pages de fausses transactions boursières.
C’est au cours de l’enquête administrative de l’AMF sur Norbourg, entre novembre 2004 et le début d’août 2005, que M. Lacroix a fourni ces documents, a indiqué le juricomptable François Filion hier, à l’occasion du procès pénal de l’ex-président de Norbourg au palais de justice de Montréal.

L’AMF voulait notamment « comprendre d’où vient l’argent de Vincent Lacroix, avec lequel il a augmenté son capital dans ses entreprises depuis 2000 », a expliqué M. Filion.

Résultat : M. Lacroix a soumis 116 faux documents à l’AMF, dont celui de 700 pages, a soutenu le témoin.

Un de ces faux contenait le bilan financier de Vincent Lacroix au 30 juin 2004. Il affichait un actif à court terme de 14,1M$ et des placements totalisant 42,0M$ d’actions privilégiées dans ses entreprises, a expliqué M. Filion.

Documents factices à l’appui, le président déchu de Norbourg a prétendu entre autres que son avoir de 27,7M$ investi dans Norbourg Groupe Financier provenait de l’argent personnel qu’il avait placé dans deux comptes détenus chez Northern Trust.

Pour donner le change, il a produit le document de 700 pages détaillant toutes les transactions boursières qu’il disait avoir réalisées entre avril 2000 et décembre 2004 avec son capital de départ de 30M$.

Et il a également fourni le calendrier des retraits de ces comptes Northern Trust et des virements subséquents de capital- actions à ses entreprises.

La Suisse

Mais pas une ligne de tout ça n’est vraie, a soutenu François Filion. Northern Trust a d’ailleurs confirmé aux enquêteurs de l’AMF que Vincent Lacroix n’a jamais détenu de compte personnel chez elle, a déclaré le témoin.

Même chose pour un autre compte de courtage, celui-là censé avoir été confié par M. Lacroix à UBS Wealth Management en Suisse, d’avril 1995 à la fin de décembre 1999.

Selon le témoignage du juricomptable, Vincent Lacroix a déposé à l’AMF un document totalement inventé de 75 pages au sujet de ce compte, dont le contrat d’un prêt de 4M$ US à son profit octroyé par RJ Holding.

Au gré d’une longue série de transactions imaginaires, le capital investi est passé à 20,7M$ US à la fin de 1999.

Pourquoi Vincent Lacroix a-t-il fabulé tout ça ? Entre autres choses afin de maquiller les retraits frauduleux de 115,3M$ qu’il a faits dans les fonds Norbourg et Évolution et qu’il a redirigés vers ses entreprises, a soutenu le juricomptable Filion.

Selon lui, chacune des fausses injections de capital-actions apparaissant au bilan de Vincent Lacroix correspond au montant exact et au jour près à 39 ponctions irrégulières réalisées dans les fonds des investisseurs et transférées dans les comptes bancaires du Groupe Norbourg.

Une partie de la preuve déposée hier pourrait être écartée par le juge Claude Leblond. Le magistrat s’est interrogé sur son admissibilité et a indiqué qu’il trancherait plus tard.

Mise à jour: 29/05/2007 12:57
Procès de Vincent Lacroix
Une partie de la preuve serait non admissible




Au Palais de justice de Montréal, une partie de la preuve déposée contre l'ex-pdg de Norbourg, Vincent Lacroix, risque d'être déclarée non admissible en cour.
Le juge a allongé la pause du diner parce qu'il se questionne sur la possibilité que Vincent Lacroix se soit incriminé lui-même lors de l'enquête administrative de l'Autorité des marchés financiers.

Vincent Lacroix est accusé d'avoir dilapidé l'argent des investisseurs des fonds Norbourg.

C'est une partie des 116 présumés faux documents transmis à l'AMF qui pourrait être exclue du procès.

Le juge doit rendre une décision cet après-midi.

http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/05/20070529-061805.html

Avec la nouvelle vidéo



Procès de Lacroix
Les prospectus étaient le dernier maillon de la falsification
Mise en ligne 29/05/2007 06h18

Vincent Lacroix, ex-pdg de Norbourg

En vidéo, écoutez le reportage du journaliste Alain Laforest.

Alain Bisson
Le Journal de Montréal

Le stratagème utilisé par Vincent Lacroix pour transférer à son profit 115,3M$ des fonds Norbourg et Évolution incluait un système élaboré destiné à appâter les investisseurs et à leur jeter de la poudre aux yeux par la suite, soutient l’Autorité des marchés financiers (AMF).

Au cours de l’avant-dernière journée de son témoignage qui s’étire depuis plus de deux semaines, le juricomptable François Filion a expliqué que les documents aux investisseurs étaient le dernier maillon de la chaîne de falsification ourdie par l’ex-président de Norbourg.

D’abord, pour attirer les investissements, Norbourg produisait des prospectus avec de fausses informations, a soutenu M. Filion.

Le prospectus est le document réclamé par les autorités réglementaires et qui sert à se faire une tête au sujet d’un placement envisagé.

Celui, entre autres, du Fonds de répartition tactique des actifs canadiens faisait une liste des titres censément détenus au 20 novembre 2001, parmi lesquels figuraient ceux du Canadien National, de Weston, de Bombardier, de Research In Motion et de Brascan, a dit le témoin de l’AMF.

Or, a soutenu M. Filion, non seulement le fonds en question ne détenait-il aucun de ces titres, mais encore il affichait un solde de 0 cent depuis trois mois.

Rapports tronqués

Les états financiers et les rapports annuels des différents fonds du portefeuille de Norbourg servaient également à flouer les investisseurs et à masquer les retraits frauduleux effectués par M. Lacroix, a ajouté M. Filion.

C’est ainsi que le rapport annuel du 31 décembre 2002, par exemple, faisait état d’un capital investi de près de 8M$ dans les fonds Norbourg, alors que des documents récupérés après la perquisition d’août 2005 indiquent que le solde réel se chiffrait plutôt à 4,6M$, soit quelque 3,3M$ de moins.

Les relevés envoyés à chacun des investisseurs contribuaient aussi à faire tourner la roue, a soutenu François Filion.

Fouilles obligatoires

En septembre 2004, les détenteurs de parts du Fonds de débentures convertibles — où 16,6M$ auraient fait l’objet de ponctions illégales attribuées à Vincent Lacroix — se sont fait dire que chaque part valait 12,56$. Le vrai chiffre, correspondant au solde réel du fonds, compte tenu des retraits irréguliers, était 0,33$, a dit M. Filion.

«Comme la valeur était plus élevée, ça attirait les investisseurs, et on faisait plus de ventes parce que c’était présenté comme un fonds qui fonctionne bien ?», a résumé le juge Claude Leblond, sous forme de question.

Par ailleurs, le juge Leblond a prolongé jusqu’à la fin du procès l’obligation de fouille pour le public qui désire assister aux audiences.

Ces mesures de sécurité exceptionnelles, qui comprennent une escorte de quatre agents spéciaux à l’intérieur du palais de justice, sont en vigueur depuis que M. Lacroix a reçu des menaces, vendredi dernier.

- Le juricomptable Filion devrait terminer son témoignage aujourd’hui, après quoi Vincent Lacroix le contre-interrogera à compter de demain.

Mise à jour: 28/05/2007 11h03

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Scandale Norbourg

Vincent Lacroix menacé

L'ancien président de Norbourg, Vincent Lacroix, sera protégé tout au long de son procès.
Même s'il est arrivé seul et sans aucune protection ce matin, le juge Claude Leblond a décidé d'assurer une protection permanente à l'homme d'affaires pendant toute la durée de son procès.

Des constables spéciaux ont été placés au cinquième étage du palais de justice, à l'entrée de la salle d'audience, afin de contrôler tous les visiteurs. Les journalistes ou les avocats qui n'auront pas de cartes d'identité seront fouillés.

Vincent Lacroix aurait reçu des menaces au cours des derniers jours.

Vendredi dernier, les travaux ont dû être interrompus durant une heure. M. Lacroix a finalement quitté le palais de justice accompagné d'agents spéciaux.

Le procès de l'homme d'affaires entre dans sa 10e journée aujourd'hui. L'enquêteur François Fillion y poursuit son témoignage.


En vidéo, écoutez le comentaire du chroniqueur judiciaire Claude Poirier