Un détail que beaucoup ignorent : c'est Claude Leblond qui a dirigé le stage au barreau de JJ Charest à une autre époque. D'ailleurs, la Tribune de Sherbrooke révélait en janvier 2005 que Leblond avait appris sa nomination à la cour corrompue du Québec via un simple coup de téléphone de son copain de longue date Charest en personne. Souvenez vous de cette information la prochaine fois que les médias mentionneront la soi-disant « indépendance » existant entre le politique et le judiciaire. Loin d'être indépendante, cette relation est carrément incestueuse.
Ce même juge prévaricateur s'est sali les mains dans une autre histoire de fumier judiciaire à connotation fortement politique diffusée sur le Web sous l'Affaire Camille. Sachant que le procès de Lacroix a été confié à ce triste sire, il était écrit dans le ciel que la magouille derrière l'affaire Norbourg demeurerait bien cachée du regard du public. En d'autres termes, Leblond était en mission commandée pour cacher les ramifications de la fraude qui remonte directement à la caisse de dépôt et de placement et impliquent des individus qui gravitent dans la nébuleuse libérale. Souvenons nous que Leblond a carrément interdit à Vincent Lacroix de produire une défense qui aurait certainement éclaboussée plusieurs amis du régime. Voilà comment la justice corrompue sous le régime Charest est administrée. Pas étonnant que les généreux donateurs dans la caisse électorale se livrent à leur petit jeu au grand jour, sachant n'avoir rien à craindre des petits juges complaisants de la cour du Québec qui sont nommés par ceux qui profitent de la caisse occulte alimentée par le crime organisé. Bienvenue au royaume de la mafia judiciaire