Dans les médias

Cluzot, j'ai toujours dit que je nous souhaitais un règlement à la Enron. C'est la CIBC, si je ne m'abuse, qui a payé. D'ailleurs c'est la banque ayant présenté le moins de profits anuuels (on va pleurer) suite à ce règlement.

En écoutant LCN, j'apprends qu'un juge a autorisé un règlement à l'amiable dans le dossier ENRON. Règlement de 6,7 milliards US proposés par les banques (dont une canadienne) pour avoir aidé ENRON dans sa fraude.

Voici un extrait du document déposé en cour par l'AMF:

Paragraphe 41: Ces sommes ont été acheminées illégalement, par Vincent Lacroix, dans les comptes bancaires suivant: BMO groupe financier 28 723 352, 50 $; Caisse Pop de la Prairie 25 745 000 $: RBC 23 820 000 $; BMO groupe 6 039 881,26 $

Bien sûr, il s'agit de deux dossiers complètement différents, Parfois j'envie les américains.

Il doit se dire qu'il ne coulera pas seul.

J'ai la nette impression que ça s'en vient, des noms vont bientôt être dévoilés d'après-moi... Vincent Lacroix est sur le point de parler et ça doit faire peur à des gens qui ne sont peut-être pas à «l'interne».

Il ne s'expose pas ainsi pour rien dans les médias.

Dans un crime, le tueur à gage à pour moi une responsabilité plus faible que celui qui a donné le contrat. Alors si Vincent Lacroix pense qu'il n'est pas seul, et bien qu'il s'exprime et nous fasse des révélations, autres que les gens de l'interne, si possible.

Dans le mille ValérieC !

Nous croyons une partie de ce qu'il dit. D'autres têtes tomberont. Des responsabilités devront être assumées (AMF-Caisse de Dépôt-Gestionnaire à l'interne etc....). Mais, poussez l'odieux à sous-entendre que ceci le déresponsabilise. Ce n'est pas ce que je veux entendre de cet homme.

Décevant parfois les médias, n'est ce pas !

Pour ma part, j'ai trouvé la journée d'hier croustillante (expression favoite de pourl'honneur), et pour une fois qu'un menteur dit candidement une partie de vérité, personne ne le crois.

A+

Article sur le site internet de l'émission «L'heure des comptes».


Une enquête publique sur Norbourg?


Un groupe d'anciens clients de Norbourg a lancé une pétition pour que le gouvernement du Québec mette sur pied une commission d’enquête sur l’affaire Norbourg, qui leur a fait perdre beaucoup d'argent.

Les investisseurs se demandent pourquoi l'Autorité des marchés financiers n'a pas agi plus tôt et pourquoi l'Association des courtiers en valeurs mobilières n'a rien vu, tout comme les autorités boursières. Ils voudraient bien savoir aussi pourquoi Gendarmerie Royale du Canada, qui enquêtait sur Norbourg depuis plusieurs mois avant que le scandale n'éclate, ne les a pas prévenus. Beaucoup d'interrogations qui demeurent sans réponse et que les investisseurs qui se sont faits flouer aimeraient éclaircir.

Ils remettront leur pétition au premier ministre Jean Charest vers la fin du mois de mars. Le ministre des Finances, Michel Audet, avait fait savoir, déjà en novembre, qu'il s'opposait à mettre sur pied une telle commission d'enquête.

D’ici là, la saga Norbourg se poursuit en Cour supérieure du Québec, où le fisc demande la mise en faillite du président de l’entreprise, Vincent Lacroix. Revenu Québec affirme que le président déchu de l'entreprise lui doit cinq millions de dollars en impôts non payés. Revenu Québec affirme que Lacroix a fait transiter, par un compte bancaire en Suisse, des montants allant jusqu'à 57 millions de dollars -- ce que nie formellement l'ex-PDG de Norbourg.

À l'issue de l'audience, Vincent Lacroix, a affirmé que d'autres personnes allaient être éclaboussées par ce scandale financier. L'homme d'affaires promet de déposer prochainement des poursuites qui finiront par faire sortir toute la vérité. Il s’occupe pour l’instant de son site Internet, dans lequel il dit vouloir défendre les investisseurs floués.

Faut vraiment faire quelque chose. J'ose espérer que les médias vont voir la pertinence de cette pétition et non seulement le clown à lacroix. Je serais vraiment déçu sinon.

Vérifiez les nouvelles, ils ont tous l'information.

Enyl

Dominique je partage votre opinion. On répète l'adresse du site de Lacroix et on n'informe pas les victimes comment accéder à la pétition.

J'ai appelé à Radio-Canada. J'ai laissé un message durant l'émission disant que j'étais une victime de Norbourg et que j'étais extrêmement intéressée par la pétition et que je voulais qu'on m'informe comment y accéder.......toujours pas de réponse. J'envoie un courriel ce matin......

J'ajoute....je crois que tout le monde ici devrait en faire autant. Démontrons un intérêt, peut-être qu'ils en reparleront !

Bonjour Enyl,

Pour ce qui est de votre question concernant «l'Heure Des Comptes», c'est une très bonne émission radio sauf qu'hier ils m'ont vraiment déçu. Je n'arrivais pas à croire qu'ils se donnaient la peine de donner, et redonner, l'adresse du site de Vincent Lacroix sans faire mention de ce site-ci! Il n'y avait aucune façon de savoir où ni comment accéder à la pétition. Pour moi c'est du travail mal fait.

Étaient-ils désintéressés pas la démarche, la trouvent-ils vaines, allez savoir.

Bonne journée à tous.

Lacroix se voit comme une victime

Denis Arcand
23 février 2006 - 07h09
Vincent Lacroix se considère comme une «victime» dans l'affaire Norbourg. Il a l'intention de lancer de «grandes poursuites» contre des anciens cadres de Norbourg, sur qui il rejette la responsabilité des fraudes alléguées qui ont créé un trou évalué à 130 M$ dans les fonds communs du Groupe Norbourg.

Texte: Envoyer Imprimer © Reproduire

Il envisage aussi de poursuivre, notamment, l'Autorité des marchés financiers et la Caisse de dépôt et placement du Québec.

M. Lacroix a fait ces déclarations en marge d'audiences, hier, au palais de justice de Montréal où il s'est présenté comme le défenseur des investisseurs, contre les visées de Revenu Québec.

Selon M. Lacroix, le fisc veut le mettre en faillite personnelle pour se servir avant les porteurs de parts qui ont été floués dans le scandale Norbourg.

Quand on lui a demandé s'il a détourné des fonds, il a répondu: « Je passais trois heures par jour au bureau, le reste du temps, je faisais du démarchage. Pourquoi vous me posez la question à moi? Dans tous les scandales financiers, il n'y a pas eu juste une tête de Turc visée dans le tas. Tout comme bien des gens, j'ai réalisé bien des choses après le 25 août.»

«Il est certain que dans les semaines qui s'en viennent, avec l'information que j'ai, je vais faire de grandes poursuites (...) dans la mesure où je me défends moi-même. À un moment donné, les gens verront les vraies réponses.»

M. Lacroix a reproché à l'Autorité des marchés financiers et à Revenu Québec d'affirmer des faussetés: «L'argent des gens est autour de vous. Et là, ils font croire toutes sortes de choses qu'elle (l'argent) vient d'ailleurs, qu'elle était cachée et tout ça. Je suis victime au même titre que les investisseurs. (...) Dites-moi, si c'était si facile qu'elle soit ailleurs, pourquoi je serais ici aujourd'hui devant le ministère du Revenu pour défendre les investisseurs?»

«Il y a pas eu des millions et des millions de cachés, que ce soit aux Bahamas ou en Suisse. Il n'y a jamais eu de sommes astronomiques qui ont transigé en Suisse ou ailleurs dans le monde.»

Qui veut-il poursuivre?
«Plusieurs. Je commencerais par l'interne, il est certain qu'il va y avoir des poursuites à ce niveau-là. Et je regarde les autorités.»

M. Lacroix a montré du doigt la Caisse de dépôt, qui lui a vendu Capital Teraxis et les Fonds Evolution: «Le plus grand cheval de Troie que j'ai reçu dans ma vie dans le domaine des services financiers, c'est d'avoir acheté Teraxis. Et quand les poursuites vont arriver, vous allez le voir (...). Dans le contexte des Fonds Evolution, il y avait d'énormes trous, dans le contexte de Teraxis, il y avait des placements privés qui étaient hors la loi, en termes des valeurs mobilières, approuvés par le board (...). On a dû tout patcher ça. Et on arrive à la fin parce que l'actionnaire est Vincent Lacroix, c'est lui qui a flambé tout le monde.»

M. Lacroix s'est fait refuser mercredi par la Cour supérieure l'autorisation de débloquer 50 000 $ de ses actifs gelés pour payer un expert en fiscalité qui aurait révisé sa cotisation fiscale.

Durant les audiences, un cadre de Revenu Québec, Alain Frigon, a témoigné. Selon lui, l'avocat de M. Lacroix, Jacques Rossignol, a affirmé lors d'une réunion officielle avec Revenu Québec que son client a détourné de l'argent des investisseurs.

M. Frigon a travaillé à une divulgation volontaire de 57 millions de dollars faite par M. Lacroix en mai 2005 (pour les années 1994 à 2004).

Durant son témoignage, hier, M. Frigon a relaté une réunion avec Me Jacques Rossignol, de Lapointe Rosenstein, le 7 octobre 2005, concernant le dossier fiscal de M. Lacroix.

Selon M. Frigon, Me Rossignol a affirmé que la déclaration volontaire de M. Lacroix était fausse, et que ce dernier avait détourné des fonds appartenant à ses investisseurs. Me Rossignol aurait ajouté qu'il ne connaissait pas la somme détournée, n'ayant pu examiner les documents perquisitionnés par la police, a dit M. Frigon.

Me Rossignol n'a pas rappelé LaPresseAffaires hier.
Vincent Lacroix n'a pas d'argent et a renoncé à se payer un avocat et assure désormais seul sa défense.

Il souhaite toutefois obtenir l'autorisation du tribunal pour payer les coûts d'une nouvelle expertise comptable. L'un des objectifs de ce travail serait de faire la lumière sur certaines transactions financières entre l'Europe et le Canada.

La GRC et l'Autorité des marchés financiers enquêtent sur cette fraude alléguée. Aucune accusation n'a été portée jusqu'à maintenant.

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Enyl

Lacroix songerait à poursuivre la Caisse

Presse Canadienne
22 février 2006 - 16h17
S'estimant victime du scandale Norbourg «au même titre que les investisseurs», Vincent Lacroix songe maintenant à poursuivre d'anciens employés ainsi que la Caisse de dépôt et placement du Québec.

Texte: Envoyer Imprimer © Reproduire

Le financier a refusé de dévoiler les noms des personnes qui figurent dans sa mire. Il a néanmoins indiqué mercredi qu'il commencerait «par l'interne» et qu'il allait aussi «regarder les autorités» qui auraient manqué à leurs responsabilités.

«Présentement j'évalue tout», a-t-il insisté à l'issue d'une audience devant la Cour supérieure du Québec, à Montréal.

L'ancien pdg de Norbourg a affirmé que les fonds Evolution et la firme Capital Teraxis, achetés de la CDP, n'avaient pas toujours respecté leurs obligations légales. «Il a fallu tout patcher ça», a-t-il soutenu.

L'homme d'affaires n'a pas accès à son argent et à ses autres actifs, qui ont été gelés le 25 août dernier à la demande de l'Autorité des marchés financiers. Il a renoncé à se payer un avocat et assure désormais seul sa défense.

Il souhaite toutefois obtenir l'autorisation du tribunal pour défrayer les coûts d'une nouvelle expertise comptable. L'un des objectifs de ce travail serait de faire la lumière sur certaines transactions financières entre l'Europe et le Canada.

Les résultats de l'expertise serviraient à Vincent Lacroix dans son affrontement contre Revenu Québec, qui demande sa mise en faillite.

L'homme d'affaires semble par ailleurs espérer que les conclusions des experts éclairent certains événements ayant mené à la débandade de Norbourg.

«On me parle qu'il y a eu des détournements de fonds de la part de personnes que je ne soupçonnais même pas. Il faut remettre dans le contexte avant de dire qui a fait quoi là-dedans», a-t-il confié.

L'affaire Norbourg, le plus important scandale financier de l'histoire du Québec, a éclaté après la découverte d'irrégularités comptables et de faussetés dans les états financiers du gestionnaire de fonds.

Il existe un écart de 130 M$ entre la valeur aux livres des anciens fonds gérés par Norbourg et les sommes contenues dans ses coffres. Une partie de l'argent disparu aurait été détourné par le fondateur de la compagnie, Vincent Lacroix.

L'AMF et la GRC enquêtent sur cette affaire, mais aucune accusation n'a été portée contre M. Lacroix jusqu'à maintenant.

La firme Ernst & Young, qui agit comme séquestre intérimaire dans le dossier, a été en mesure de récupérer 75 M$ qu'elle souhaite pouvoir remettre aux investisseurs floués le plus rapidement possible, une fois que la Cour supérieure du Québec se sera prononcée quant à la façon de distribuer ces sommes

Lacroix songerait à poursuivre la Caisse
Presse Canadienne
22 février 2006 - 16h17
S'estimant victime du scandale Norbourg «au même titre que les investisseurs», Vincent Lacroix songe maintenant à poursuivre d'anciens employés ainsi que la Caisse de dépôt et placement du Québec.
Texte:


Le financier a refusé de dévoiler les noms des personnes qui figurent dans sa mire. Il a néanmoins indiqué mercredi qu'il commencerait «par l'interne» et qu'il allait aussi «regarder les autorités» qui auraient manqué à leurs responsabilités.

«Présentement j'évalue tout», a-t-il insisté à l'issue d'une audience devant la Cour supérieure du Québec, à Montréal.

L'ancien pdg de Norbourg a affirmé que les fonds Evolution et la firme Capital Teraxis, achetés de la CDP, n'avaient pas toujours respecté leurs obligations légales. «Il a fallu tout patcher ça», a-t-il soutenu




Vincent Lacroix a été débouté en Cour supérieure aujourd'hui dans sa requête pour faire débloquer des fonds pour se battre contre Revenu Québec, auquel il doit des millions, mais entend porter sa cause devant un autre tribunal.
Texte:



«Je vais aller vers la Cour du Québec», a-t-il indiqué aux médias sur un ton déterminé à sa sortie de l'audience. «Ce sera ça de plus pour les investisseurs», a-t-il dit au sujet de l'impôt qu'il veut soustraire au fisc.

Il doit 5M$ à Québec et réclame le remboursement de 6 autres millions déjà versés cet été, à la suite de l'aveu de revenus non déclarés.

L'avocat du syndic RSM Richter, Denis Saint-Onge, a par ailleurs annoncé qu'il porterait de 28M$ à 35M$ le montant personnel qu'il attribue à M. Lacroix et qu'il veut faire servir au remboursement des créanciers de Norbourg.

Vincent Lacroix, qui a assumé seul sa défense après avoir largué ses avocats la semaine dernière en se disant incapable de les payer, réclamait aujourd'hui le dégel d'une partie de sa fortune pour payer un nouveau comptable et ainsi contester les réclamations de Revenu Québec.

Le juge Mongeon a conclu que la question des sommes dues à Québec n'était pas de la juridiction de la Cour supérieure, et revenait plutôt à la Cour du Québec. Mais le juge a aussi indiqué que la requête de Vincent Lacroix lui semblait mal fondée.

M. Lacroix n'a pas du tout démontré en quoi les déclarations fiscales faites en son nom par son ancienne firme comptable, Pricewaterhouse, pouvaient contenir des faussetés, a souligné le magistrat.

Questionné par un journaliste sur son silence à ce sujet, Vincent Lacroix s'est fait candide. «Je ne savais pas que je devais le faire», s'est-il expliqué.

M. Lacroix s'est présenté seul au Palais de Justice et a contre-interrogé lui-même le témoin Alain Frigon, de Revenu Québec.

Calme et posé, il a eu droit à un compliment du juge sur sa manière de mener l'interrogatoire. Le juge Mongeon l'a toutefois averti à quelques reprises du peu de pertinence de ses questions.

Selon le témoin de Revenu Québec, PriceWaterhouse a entrepris à la fin 2004, au nom de M. Lacroix, de révéler aux autorités fiscales une omission de déclarer des revenus de 57 M$, étalés sur plusieurs années.

La firme comptable et Québec se sont par la suite entendus sur l'existence d'une dette fiscale de 11 M$. Le ministère a reçu durant l'été un chèque de remboursement de 6 M$.

Mais toujours selon le témoin, lors d'une rencontre entre les parties après l'éclatement du scandale Norbourg, l'ex-avocat de M. Lacroix, Jacques Rossignol, a annoncé à Revenu Québec que son client désavouait les démarches de divulgation et de remboursement de PriceWaterhouse et voulait récupérer les 6 M$ versés.

Avant d'entrer dans la salle d'audience, M. Lacroix n'a adressé que quelques mots aux journalistes, pour redire que les médias rapportent des faussetés sur ses affaires.



Personnelement, j'avais du mal à comprendre sa déclaration volontaire, pourquoi sur 10 ans alors que la loi n'en impose que 5, pourquoi déclarer des revenus dans une société suisse pour les années 1995 à 2004, alors que cette société à été constituée en 1996, comment une société ayant son siège social en suisse peut payer de l'impôt au québec, pourquoi des comptes chez Northern trust en Angleterre, bref, je ne comprenais vraiement pas.

Me voila rassuré, lui non plus ne comprend pas, je me sens moins seul. Moi si j'étais journaliste j'appelerai Price Waterhouse Coopers, peut être que eux, ils ont compris, et ensuite j'appelerai revenu Québec pour voir si eux ont compris quelque chose.

Kafka, viens m'aider

Je voudrais votre idée sur l'heure des comptes......C'est important


Enyl

La pétition devrait être médiatisée à partir de demain soir si tout va bien.

On s'envoie de bonne pensée.

Enyl

Lui confirmerait 55 millions.

Je vous rappelle que le rapport d'ernst & Young fait état de 130 millions, et que la pousuite de l'AMF déposée en octobre fait mention de 85 millions.

Si vous allez sur le site de l'AMF, vous verez la poursuite, mais il y une différence entre ce qu'il y a dans le site et la poursuite déposée en cour; dans celle déposée en cour on voit que les sommes pigés illégalement dans les fonds, sont vraiment différentes.

J'imagine que ça dépendra de l'écart. Si il manque 125 millions au lieu de 130, il n'y a pas de quoi faire un plat, mais si c'est un écart de 25, 50 ou 75 millions, là le ministre Audet perdra la face, magistralement!

Ce sera un scandale de plus et Me Audet sera vraiment au pied du mur...

Ça pourrait être drôlement à notre avantage.

Imaginons simplement que Lacroix ait raison, "il ne manque pas 130 millions", je sais d'une source sûre que lors de la remise du rapport Ernst & Young, il a appelé cette source pour lui dire dès cette journée que les montants du rapport étaient faux.

Imaginons simplement qu'il ait raison, juste 5 minutes, pas plus, et mettons nous dans la peau du ministre Audet, il ordonne une liquidation sur les bases d'un rapport erroné, sans permettre au présumé fraudeur de s'expliquer.

Pas capable de prévenir une fraude, et encore moins capable de l'évaluer.

C'est ce que je pensais, merci Enyl.

Nous serons branchés sur la SRC ce soir. À 18H00 au téléjournal pour la grande nouvelle et à 18H30 à la radio pour la pétition.

Je viens d'aller voir sur le site et c'est indiqué 18:30hres à 19:00

18H30 à 19H00

«L'heure des comptes», n'est-ce pas plutôt à 18H30? À 17H30, il me semble que c'est «Sans frontières»...

La guérison passe par le rire et vous êtes déchainés ce pm c'est le fun....